Zurück zu Voß? Möglichkeiten und Grenzen der Versübersetzung am Beispiel von Vergils Aeneis
Résumé
Résumé. — Jusqu’aux dernières années du XXe siècle, les traductions métriques de la poésie latine en allemand restaient fort influencées par Johann Heinrich Voss (1751-1826), célèbre traducteur d’Homère. La langue classicisante qui y était employée s’étant de plus en plus éloignée de l’usage moderne, les traductions en prose sont aujourd’hui privilégiées. En prenant comme exemple l’Énéide de Virgile, on démontre ici de façon systématique qu’il n’est pas impossible de traduire en hexamètres allemands sans recourir à une langue surannée.
Abstract. —Well into the 1990s, metrical renderings of Latin poetry in German bore the stamp of Johann Heinrich Voss (1751-1826) and his renowned translations of Homer. The dwindling number of readers still able fully to understand and appreciate the classicizing language chosen led to a preference for prose over verse in translations. With Virgil’s Aeneid as methodological case study, this article demonstrates that a hexameter rendering into German need not preclude the use of modern-day language.
Niklas HOLZBERG
Ludwig-Maximilians-Universität München
Universität Erfurt
nc.holzberg@gmail.com
Texte intégral :
PDFRenvois
- Il n'y a présentement aucun renvoi.
© Société des Études Classiques a.s.b.l. - Rue de Bruxelles 61, B-5000 Namur, Belgique.
La revue bénéficie de l'aide financière du Fonds de la Recherche Scientifique - FNRS de Belgique et de la Fondation Universitaire de Belgique.