LA PROPOSITION RELATIVE DANS LA TRADUCTION CICÉRONIENNE DU TIMÉE DE PLATON
Résumé
C’est un fait reconnu que l’absence d’article complique sensiblement l’interprétation de la relative latine . C’est la raison pour laquelle il m’a paru intéressant d’étudier l’emploi de la relative dans le Timée de Cicéron, c’est-à-dire dans une œuvre classique traduite d’un texte écrit dans une langue qui possède un article. Mes préoccupations ne seront évidemment pas celles de R. Poncelet et de son étude sur l’expression de la pensée complexe en latin classique , même si à l’occasion, je serai amené à critiquer quelques-unes de ses vues sur la relative dans les traductions de Cicéron. Mon objectif ici sera de voir, à partir d’un relevé exhaustif des relatives du Timée, si la comparaison avec le grec permet d’apporter des lumières sur le rôle de la relative en latin et sur certains problèmes qu’elle soulève, comme celui de l’existence du relatif de liaison et celui de l’opposition modale.
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