LES PROPOSITIONS RELATIVES EN QUI, QUAE, QUOD DANS UN CORPUS D’INSCRIPTIONS LATINES
Résumé
Avant tout, je voudrais expliquer la méthode que j’ai suivie et préciser les limites de cette recherche.
Afin d’observer le fonctionnement des propositions relatives dans les inscriptions latines, il m’a semblé intéressant d’étudier un corpus de 47 084 inscriptions disponibles sur le réseau « Internet ». Cet ensemble, encore assez peu élaboré techniquement puisqu’il ne fournit que le texte « brut » des documents, est l’œuvre de l’équipe du Professeur Clauss, Directeur du Département d’Histoire Ancienne de l’Université de Francfort. Son service a saisi sur support informatique l’Année Épigraphique dans sa totalité, quelques volumes du CIL, ainsi que des recueils régionaux ou thématiques 1. Cette œuvre est loin d’être terminée : le but des auteurs est de mettre à la disposition des chercheurs la totalité des inscriptions latines connues.
Ces textes, offerts gracieusement aux épigraphistes, m’ont permis de relever quelque trois mille propositions relatives introduites par qui, quae, quod et les formes déclinées qui appartiennent à ce paradigme. Par ailleurs, je tiens à remercier le Centre de Calcul des Facultés de Namur et, plus particulièrement, Michel Dieu, informaticien qui, grâce à ses compétences professionnelles, m’a aidé à repérer aisément les propositions relatives.
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