Manuscrits tardifs d’Horace
Résumé
Résumé. – Les mss tardifs (sigle ς) ont toujours retenu l’attention des éditeurs d’Hor. : au berceau de l’imprimerie, c’étaient les plus accessibles ; plus tard, on s’intéressera à des leçons ignorées du reste de la tradition. Avec G. Pasquali, les philologues ont retenu qu’un ms. tardif n’est pas nécessairement mauvais, pouvant transmettre de bonnes leçons d’un témoin aujourd’hui disparu, leçons ignorées des autres mss (à moins qu’il ne s’agisse de corrections heureuses). Considérations théoriques sur la place des mss tardifs dans la transmission et application pratique à des passages d’Hor. sont l’objet du présent article.
Bernard STENUIT
Chercheur associé à l’Université de Strasbourg
stenuit-barqui@orange.fr
Texte intégral :
PDFRenvois
- Il n'y a présentement aucun renvoi.
© Société des Études Classiques a.s.b.l. - Rue de Bruxelles 61, B-5000 Namur, Belgique.
La revue bénéficie de l'aide financière du Fonds de la Recherche Scientifique - FNRS de Belgique et de la Fondation Universitaire de Belgique.